Happy Together

Mardi 8 octobre – 19h30

Wong Kar-wai – 1997
VOST (Hong-Kong) – 96’

Ho Po-wing et Lai Yiu-Fai sont deux amants originaires de Hong Kong. Voulant vivre l’aventure ensemble, ils partent en voyage en Argentine avec le rêve de voir les chutes d’eau d’Iguacu, mais leur relation, déjà tumultueuse, s’érode. Ils se séparent et restent bloqués à Buenos Aires, faute d’argent. Fai, hanté par cette relation, tente difficilement de gagner un peu d’argent en travaillant pour revenir rapidement à Hong Kong alors que Po-Wing a une vie plus mouvementée et s’attire les soucis en chaîne. Se recroisant fréquemment sous les lampadaires de Buenos Aires, les deux amants se retrouvent, dans un espoir de tout recommencer à zéro… Peuvent-ils encore être heureux ensemble ?
Happy Together raconte l’histoire d’un amour que personne n’arrive à terminer, qu’aucune souffrance n’achève. Un amour dont personne ne semble réussir à vivre sans. Le film explore les thématiques de la rupture, de la possessivité, des regrets et du ressentiment, du mensonge mais également de la tendresse, du désir, de la réconciliation, de l’intime connaissance de l’autre, comme lors des magnifiques scènes de tango entre les deux amants. Il parle aussi de l’exil, des migrations, du voyage, des individus trimballés ou confinés chez eux ou à l’autre bout du monde, harassés par le travail, le manque d’argent et les normes. Le film ne fait jamais une emphase particulière sur l’homosexualité de Po-Wing et de Fai mais montre, au contraire, l’universalité des joies et des problèmes que rencontrent les humains dans leurs relations amoureuses.
Dans une cinématographie sublime, Wong Kar-wai, dont nous avions déjà projeté Les Anges Déchus en avril dernier, nous invite dans un émouvant voyage au cœur de la complexité de vivre et se dire l’amour.

En finir VRAIMENT avec la gauche

Vendredi 11 octobre – 19h30

Pourquoi et comment en finir avec la gauche ?

Pourquoi ?
La question est bien plutôt de se demander pourquoi la question se pose encore aujourd’hui. On est maintenant bien loin de 68 et de ce moment où une partie des aires révolutionnaires s’est enkystée dans une représentation d’elle-même comme contre-pouvoir jusqu’à devenir une gauche qui cherche et mérite le pouvoir. On est loin aussi de la dite « vague rose » de 81 qui a emporté dans cette perspective de conquête et d’en finir avec la Droite une partie de ceux qui cherchaient dix ans plus tôt la conflictualité et la subversion, certains s’installant bien à l’aise dans cette victoire électorale, derrière Mitterrand qui pour sa part n’avait rien d’un soixante-huitard avec son passé proche de l’extrême droite, et n’a jamais prétendu à aucune conflictualité autre que celle de gagner les élections, d’autres se sont retrouvés alors dans une situation schyzophrénique avec un calcul à trop de bandes pour être autre chose qu’un alibi (on participe au pouvoir mais en fait c’est pour le subvertir de l’intérieur et en fait on est du côté de ceux qui voudront renverser le pouvoir qu’on incarne).
Depuis ces époques où, si on ignore tout des débats historiques entre révolutionnaires, on pouvait peut-être encore parler d’ambiguïté, d’illusion, puis de trahison (la fameuse trahison de 83…), la gauche a gouverné, non seulement la France mais aussi l’Europe, elle a mis en place les politiques qui se poursuivent actuellement en terme de politique migratoire (instauration des centres de rétention, chantage à l’intégration qui justifie le tri des migrants parce qu’« on ne peut pas accueillir toute la misère du monde »), et en terme de mise au travail avec le RMI sous conditions, les diverses réformes de l’Unedic, elle a modernisé et agrandi les prisons et créé les QHS, elle a « rétabli l’ordre » colonial en tirant sur les kanaks en Nouvelle Calédonie, pour ne citer que quelques exemples frappants. Elle a aussi bien sûr gouverné avec la droite et certainement favorisé la montée de l’extrême droite par calcul électoraliste. On n’a rien sans rien et on ne fait pas d’omelette sans casser des œufs.
Mieux encore : comme c’est quand même « la gauche », elle a cherché par tous moyens à garder un pied dans les luttes, à travers ses relais divers, sa « gauche de la gauche » toujours prête à devenir Gauche Plurielle, Nupes ou Front populaire, ses syndicats qui se retroussent les manches pour faire cesser les mouvements sociaux au moment opportun, ses relais associatifs qui maintiennent l’ordre et la bonne humeur dans les banlieues, ses grands frères…
Elle a impulsé le gigantesque thinktank de l’adaptation aux évolutions du capitalisme, avec les élèves de Foucault qui concoctent le Plan d’Aide au Retour à l’Emploi, avec ses sociologues/criminologues qui affinent la sécurité et la répression pro-active, avec ses politiques de préventions et son contrôle social à grande échelle.
Les politiques mises en place par la gauche suivent leur cours, améliorées par des gouvernements d’experts, ou de droite, peut-être bientôt d’extrême droite, sans rupture. Ça roule. Mais cette gauche s’est objectivement délitée. Le PS, garant de ses capacités à gouverner, est désormais fantômatique. Le PC n’est plus qu’un ramassis de vieux réacs qui font la promotion du pâté Enaff et des contrôles aux frontières. Ses « forces vives » récemment quasi victorieuses aux législatives sont menées par un ex socialiste qui éructe contre les tchétchènes, se présente comme un homme providentiel aux accents populistes, diffuse à tout va racisme et antisémitisme.
On aurait pu penser que cette agonie à laquelle on assiste depuis trop longtemps aurait pu laisser la place libre pour que la conflictualité se déchaîne des leviers qui l’entravent inlassablement et que cette Autonomie qui s’est construite tant bien que mal hors de la gauche et contre elle depuis les années 70 apporte suffisamment d’entrain pour que, une fois les chaînes rompue, un vent de lutte se lève enfin. Or il n’en est rien, et les aires qui se disent aujourd’hui encore « autonomes » ne se souviennent même plus que cette autonomie, c’est contre la gauche qu’elle voulait se construire. Aujourd’hui plus que jamais, alors qu’il faudrait mettre le dernier coup de pelle à une gauche exsangue, une bonne partie des aires qui se veulent subversives choisissent plutôt d’activer la réanimation du cadavre, de faire vivre les syndicats, de voter et surtout de faire voter parce que c’est quand même moins pire un gouvernement de gauche, et même de se faire le relais des vieilles rengaines populistes, racistes, intégrationnistes qui ont été le pire de ces aires politiques.

Comment ?
Ce qu’on voudrait se demander d’abord c’est comment on est arrivé à cette situation où la politique du « moins pire » est portée en étendard par les aires à prétention révolutionnaire. De là pourra peut-être enfin s’ouvrir cette question vitale : comment en finir avec la gauche, et avec elle, en finir avec les perspectives de contrôle des luttes et de leurs devenir, pour nourrir enfin des perspectives révolutionnaires vivantes. C’est aussi se demander comment lutter sous et contre une gauche qui se retrouve paradoxalement autant aux portes du pouvoir que l’extrême-droite. A ce « comment ? » là ne répondra aucune recette miracle, c’est bien pour cette raison qu’il faut ouvrir la question et en discuter largement. Cette soirée a comme perspective d’y contribuer.

Clean, Shaven

Mardi 15 octobre – 19h30
Mardi 19 novembre – 19h30

Lodge Kerrigan – 1993
VOST (USA) – 79’

Peter est schizophrène, dans Clean, shaven on plonge les mains en avant dans son esprit torturé et paranoïaque alors que l’on vient de lui retirer la garde de sa fille. Fortement perturbé, il s’enfuit de l’hôpital psychiatrique où il est interné pour partir à sa recherche. Ce film parfois difficile offre une plongée vibrante et poétique dans ce qu’est véritablement la schizophrénie, sans aucun cliché psy hollywoodien délétère (pas de twist avec double personnalité ici). Avec une mise en scène expérimentale véritablement frappante, il s’agit là pourtant du premier coup de maitre de Lodge Kerrigan, par lequel nous ouvrons un cycle où nous projetterons certains de ses autres films : Keane et Claire Dolan.

Projection-discussion autour de la psychothérapie institutionnelle

Vendredi 8 novembre – 19h30

A partir de Le Sous-bois des insensés, entretiens avec Jean Oury

Parmi l’héritage révolutionnaire de 1968, et plus largement des luttes et contributions critiques des années 50 aux années 70, on peut s’intéresser, dans une perspective anti-autoritaire, à tout ce qui s’est inventé au sein des courants de la psychothérapie institutionnelle et de l’anti-psychiatrie. En effet, l’aliénation sociale et médicale concentrée dans les espaces psychiatriques et asilaires, quand elle est attaquée, peut nous indiquer des possibilités émancipatrices qui nous concernent tous, au-delà du champ de la folie et de la psychiatrie. Le rapport d’assujettissement du patient diagnostiqué par le corps médical et rendu patient passif, les rapports d’exclusion et de marginalisation vis-à-vis des normes qui circulent dans les familles, les écoles, au travail, se font échos des aliénations qui nous traversent tous et que nous cherchons à combattre. Dans la recherche de ce commun de la critique théorique et pratique, entre la psychothérapie institutionnelle, l’anti-psychiatrie et plus largement la perspective révolutionnaire, on propose de prendre en considération, depuis aujourd’hui, les outils inventés au sein de la psychothérapie institutionnelle pour enrayer les mécanismes bien vite en place de l’institutionnalisation, de la bureaucratisation, de la centralisation, des spécialisations et donc plus largement de l’aliénation qui passe par ces différents canaux. Qu’est-ce que ces outils peuvent apprendre aux pratiques et espaces militants, et plus largement à la question du comment on s’organise sans et contre (les) structures de pouvoir ? Aussi, comment est-ce que la perspective révolutionnaire peut s’articuler avec la prise en compte des fragilités psychiques et des parfois nécessaires relations soignantes ? Nous proposons d’ouvrir ce champ de réflexion à partir d’un premier support : Le sous-bois des insensés, entretiens avec Jean Oury, qui en appellera sans doute d’autres. Cette discussion jalonnera peut-être le début d’un cycle ?

Soirée de soutien à la bibliothèque

Samedi 16 novembre – 19h30

Cette soirée sera l’occasion de nous rencontrer, de discuter des luttes en cours, du projet de la bibliothèque, d’amener des tracts et brochures pour la distro de la bibliothèque, de parler de révolution, et de profiter d’une expérience cinématographique unique avec la projection du nanar de propagande chrétienne God’s not dead.
Une caisse sera disponible pour apporter un soutien aux divers charges de la bibliothèque (loyer, vitres cassées, impressions …).

La rentrée à la bibliothèque des Fleurs Arctiques

En attendant la sortie du nouveau programme, la bibliothèque des Fleurs Arctiques sera ouverte tous les jeudis de 16h à 18h à l’occasion de la permanence hebdomadaire et le groupe de lecture se tiendra chaque dimanche à 16h30.

À bientôt à la bibliothèque des Fleurs Arctiques !

Cet été aux Fleurs Arctiques

 

Cet été la bibliothèque des Fleurs Arctiques reste ouverte à raison d’une fois par semaine. Vous pourrez passer le dimanche à notre permanence à 18h et à 20h pour une projection libre (à laquelle il sera possible de ramener des propositions de film à regarder ensemble)

Soirée de soutien à la bibliothèque

Samedi 6 juillet 19h30

Cette soirée sera l’occasion de nous rencontrer, de discuter des luttes en cours, du projet de la bibliothèque, de la dernière brochure publiée «Contre la réaction», d’amener des tracts et brochures pour la distro de la bibliothèque et de parler de révolution ! Une caisse sera disponible pour apporter un soutien aux diverses charges de la bibliothèque (loyer, vitres cassées, impressions …). Nous invitons aussi tous nos harceleurs et calomniateurs à venir à ce «meet-up harceleurs» afin de pouvoir discuter d’éventuels désaccords et conflits de fonds qui traineraient bien cachés derrière les calomnies mondaines habituellement développées.

NI POPULAIRE NI NATIONAL NI REPUBLICAIN ! REVOLUTION !

NI POPULAIRE NI NATIONAL NI REPUBLICAIN !

« Tous les gouvernements se valent et les anarchistes n’en veulent aucun… », Victor Serge, Mémoires d’un révolutionnaire.

Les résultats des élections européennes sont tombés. Avec surprise (ou pas), le RN est le grand vainqueur et décroche plus de 30% des sièges, loin devant Renaissance. Suite à ces résultats, Macron a annoncé dissoudre l’assemblée nationale. Des élections législatives sont donc prévues dans quelques semaines. Depuis, toutes les figures de la gauche parlementaire et extra-parlementaire sont aux abois et appellent au fameux barrage contre l’extrême droite (le même qui a mené Chirac ou Macron au pouvoir, ces figures de la subversion). Un barrage nommé « Nouveau Front populaire », en référence à celui de 1936, qui avait entre autres négocié la paix sociale à coups de réformes pour mettre fin aux grèves massives de 36 dans les usines et abandonné les antifascistes espagnols se battant contre Franco, dans un moment où l’hypothèse révolutionnaire était plus que tangible.

S’il est en effet glaçant d’observer les résultats obtenus par le RN, il est aussi insupportable de voir la gauche agiter sa propagande électoraliste à coups de menaces (le fascisme est aux portes de la France !) et de leçons de morale aux abstentionnistes, (qui ont certainement l’analyse du vote la plus juste) : « si vous ne votez pas, alors VOUS donnez le pouvoir à l’extrême droite ». Tout est ainsi possible, toutes les compositions les plus abjectes sont imaginables : « la LFI a tenu des propos ambigus vis-à-vis du génocide Ouïghour, est pro-Assad et antisémite ? On le sait bien ! Mais voilà, on n’est pas là pour faire dans la dentelle ! ». La politique c’est important, et l’éthique ce serait pour les petits-bourgeois privilégiés qui ont le luxe de ne pas aller voter. Refuser de participer aux élections, refuser de se penser « représenté » par qui que ce soit, seraient des postures de « radicools ». Et on chie ici allègrement sur toute l’histoire des mouvements révolutionnaires et de la critique de la démocratie, afin de garantir à des politicards de pouvoir garnir les rangs de l’assemblée, ramasser leurs salaires et se foutre de notre gueule pendant encore bien longtemps.

La panique, sans doute justifiée, vis-à-vis de l’extrême droite laisse libre cours, chez ceux qui se sentent pousser des ailes citoyennistes en période électorale, à la déferlante paresseuse de compromis majeurs : la fin justifie les moyens TOUT plutôt que l’extrême droite ? La rhétorique du moins pire, ce racket intellectuel permanent nous rend aveugle et nous enlève toute faculté de penser et d’agir par nos propres moyens.

ON SE FOUT DE NOUS ! On nous appelle maintenant à voter et constituer un front avec tous les partis de gauche qui, et ce depuis toujours, appellent aux réformes pour une« bonne » police, un travail « inclusif », ou un capitalisme « plus écolo » ou « plus social ». Des partis qui prônent eux-aussi un contrôle de l’immigration aux frontières mais cette fois-ci auréolé des vertus du « protectionnisme » contre le libéralisme économique. Des partis eux-aussi nationalistes et souverainistes, deux concepts largement usités parle fascisme dans leurs versions les plus extrêmes, mais qui portent toujours intrinsèquement en-eux la possibilité d’une passerelle vers la réaction.

PAS D’AN = PAS DE RN ! A BAS L’ETAT !

À tous ceux qui, sincèrement inquiets et révoltés de l’arrivée de l’extrême droite au pouvoir ne voient malheureusement d’autres choix que d’aller se soumettre, parfois la mort dans l’âme, face au premier parti de gauche venu et à son discours culpabilisant tout en sachant que cela ne changera pas grand-chose à ce monde d’exploitation : l’urne n’est qu’un chantage parmi d’autres du système démocratique. Nous prendrons notre liberté par d’autres pratiques,celles qui portent une conflictualité avec tout pouvoir. Ces pratiques sont loin d’être des postures, n’en déplaise aux influenceurs de gauche qui voudraient nous faire avaler qu’un « front de gauche antifasciste » est l’horizon indépassable de toute perspective d’émancipation. Nous ne sommes pas dupes : ce chantage, nous le connaissons bien, car c’est ainsi que l’État démocratique fonctionne et assure sa propre reproduction.

Car le vote pourrait bien être précisément ce qui donne le pouvoir au RN, et ce qui, dans tous les cas, ne sera que ce qui assoit, encore et toujours, la conservation de l’existant. Le vote n’a jamais été autre chose : il ne sera jamais un acte de rébellion mais bien toujours un acte de soumission à ce monde et à ceux qui nous volent notre vie. Si la démocratie porte au pouvoir le RN dans 1 mois ou dans 3 ans, ceux qui appellent au barrage dans les urnes aujourd’hui resteront-ils dans leurs chaumières car le “peuple souverain” aura fait son choix ? Si la gauche arrive au pouvoir, resteront-ils les bras croisés en regardant celle-ci gérer elle-même les commissariats, les prisons, les antennes France Travail et les CRAs (comme elle l’a déjà fait à chaque fois qu’elle a été portée au pouvoir) ?

Nous voyons aussi venir celles et ceux qui appelleront à un “barrage antifasciste” non seulement dans les urnes, mais dans la rue. Pour ces deux barrages, la question reste la même, il s’agit de savoir ce que nous voulons. Car un antifascisme mou, des urnes ou de la rue, qui se borne à se battre contre le RN au profit de la gauche ne mènera jamais à la destruction du capitalisme ou de l’État et à notre liberté, mais seulement à faire les petites mains pour ceux qui seront nos prochains maîtres et nos prochains patrons. Ce que nous voulons, c’est la mort de la démocratie, des partis, du travail, des nations, de l’État et du capitalisme : c’est la Révolution !

Pour les législatives, nous serons nombreux à ne pas aller voter, à n’en avoir rien à foutre des leçons de morale, rien à foutre des tentatives de séduction de la gauche, rien à foutre de s’ils réussiront, ou pas, à faire carrière sur le dos de notre misère. Désertons les bureaux de vote, allons dans la rue porter la conflictualité et la subversion contre ce monde et ses magouilles politicardes que plus personne ne supporte !

Petit à petit, fleurissent des appels à se rassembler, à bloquer, à manifester. Débordons ces rassemblements uniquement appelés sur des mots d’ordre purement frontistes et conservateurs, élargissons notre révolte au système démocratique qui a toujours su faire la part belle au populisme et au fascisme, organisons-nous pour faire exister des possibilités émancipatrices, révolutionnaires, qui viendront chambouler nos quotidiens.

GREVESBLOCAGESMANIFS SAUVAGESEMEUTES, RÉVOLUTION !!

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Des allergiques à tous les fronts

Programme de la bibliothèque pour juin et juillet 2024

 

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Pendant ce programme à la bibliothèque des Fleurs Arctiques, nous discuterons du huitième numéro du journal d’agitation Mauvais Sang et de déstabilisation politique.

Nous projetterons lors du ciné-club : A tombeau ouvert, Jimmy P. (Psychothérapie d’un Indien des Plaines) et Marie Reilly.

Les permanences auront lieues le jeudi de 16h à 18h et les groupes de lecture le dimanche à 16h30.

Nous vous invitons également à une soirée de soutien à la bibliothèque le samedi 6 juillet !

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